Paysan, d’Édouard Morena
Anamosa, collection « Le mot est faible », 112 pages, 9 euros.
Anamosa, collection « Le mot est faible », 112 pages, 9 euros.
Le 8 octobre dernier les syndicats du CHU de Toulouse ont appris qu’un interne en radiologie, N.W., était affecté dans l’établissement à compter du 4 novembre, malgré sa condamnation en mars dernier à cinq ans de prison avec sursis pour plusieurs agressions sexuelles.
Catherine Méry, militante depuis 1980 à la LCR puis au NPA, et militante syndicale, fait paraître aux éditions Syllepse en coédition avec La Brèche « Leur usine, nos vies, nos morts », qui raconte la vie à l’usine Bosch de Beauvais.
Alors que des voix s’élèvent dans le monde contre l’enlèvement de Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, les autorités françaises restent silencieuses face aux exactions des putschistes.
Trois ans après le coup d’État, le général Mamadi Doumbouya, ancien caporal-chef de la Légion étrangère, s’éloigne de sa promesse de rendre le pouvoir aux civilEs. La mansuétude dont il bénéficie ne risque pas de le faire changer d’avis.
Le mercredi 23 octobre, Montpellier a accueilli Olivier Besancenot pour deux événements : une réunion publique organisée par les JA (Jeunesses anticapitalistes) et la première projection en cinéma du documentaire « Rouge, la couleur qui annonce le journal » !
Binge Audio Edition, 2024, 346 pages, 19 euros.
Le livre d’Estelle Depris est présenté comme un manuel d’éducation antiraciste à destination des personnes blanches : « Comment devenir unE meilleurE alliéE de la lutte antiraciste ? Qu’est-ce que le privilège blanc et comment se manifeste-t-il ? Comment se sentir légitime pour aborder ces questions en tant que personne blanche ? »1
Le conducteur de SUV qui a délibérément roulé sur Paul Varry, jeune militant de 27 ans de « Paris en selle », a été incarcéré et mis en examen pour meurtre. Ce drame survenu à Paris le 16 octobre a suscité de nombreux rassemblements de solidarité et même des actions de dégonflage de pneus de SUV, comme à Toulouse.
Les tensions entre automobilistes et cyclistes sont fortes mais ce sont bien ces dernierEs qui seulEs sont en grande vulnérabilité, en danger de mort même.
Depuis plusieurs décennies, l’Italie mène une politique migratoire abjecte qui bafoue les droits humains et met en péril la vie des nombreuses personnes qui tentent de rejoindre l’Europe.
Criminalisation de la circulation, limitation du droit d’asile, externalisation du contrôle des frontières, détention des migrantEs dans les pays dits « sûrs » : la politique xénophobe que Giorgia Meloni prétend aujourd’hui ériger en « modèle » pour les autres pays de l’Union.
Depuis le début des années 1980, le centre d’édition et le secrétariat de la 4e Internationale sont établis à Paris. Ce transfert (depuis Bruxelles) avait été prévu de longue date mais il a fallu attendre l’élection de Mitterrand en 1981 pour que deux des principaux dirigeants de l’Internationale, Ernest Mandel et Livio Maitan, puissent légalement venir dans le pays.
Les parties civiles du procès du chlordécone et de nombreuxEs militantEs de l’écologie décoloniale se sont rassembléEs mardi 22 octobre devant la Cour d’appel de Paris pour une nouvelle audience procédurale sur la possibilité d’attaquer l’État francais en responsabilité.
Le bombardement de l’Iran par Israël le 26 octobre, en réponse au tir de 300 missiles par l’Iran sur Israël au début du mois d’octobre, représente une extension des guerres d’Israël à Gaza et au Liban, menace d’un conflit régional et soulève l’effrayante perspective d’impliquer le partenaire d’Israël, les États-Unis, et éventuellement l’allié de l’Iran, la Russie, tous deux des puissances nucléaires.
Des pluies d’une intensité record ont provoqué de nombreuses inondations dans tout le pays ces dernières semaines, dévastant des villes et causant la mort d’une personne.
Ces pluies exceptionnelles, cumulant parfois six mois de précipitations en 48 heures sont une conséquence directe du réchauffement climatique.
Est-ce le début de la fin de l’impunité israélienne ? Plus de 1 000 IsraélienNEs et Franco-IsraélienNEs ont signé une tribune demandant l’arrêt de tout accord de coopération et « toute sanction possible afin d’obtenir un cessez-le-feu immédiat […] et durable »1.
Sans majorité à l’Assemblée, le gouvernement macroniste/LR de Barnier a besoin des voix du RN pour faire passer son PLF (projet de loi de finances) sur le budget de l’État et le PLFSS (projet de loi de financement de la Sécurité sociale).
Le FLN fut ainsi créé par un petit groupe d’activistes décidés à passer à l’action armée. À l’origine de l’organisation, neuf chefs historiques, issus d’un Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA) créé au printemps 1954. Parmi eux, sept avaient exercé des responsabilités dans l’OS. Deux d’entre eux l’avaient même dirigée et avaient été inquiétés lors du démantèlement : Hocine Ait Ahmed jugé par contumace, et Ahmed Ben Bella qui, condamné, s’était évadé de prison.
L’heure de l’insurrection
«Le terrorisme, qui vient de faire à Casablanca de nouvelles victimes, s’est brusquement étendu la nuit dernière à une Algérie qui ne paraissait jusque-là menacée dans l’Est constantinois que par des incursions accidentelles de fellagas tunisiens. » Le Monde, 2 novembre 1954.
Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, quelques centaines de nationalistes lançaient une série d’attentats en Algérie. Avec des effectifs et des moyens limités, étant surtout implantés en Kabylie et dans les Aurès.
Pressées par Poutine, les forces militaires russes utilisent leur supériorité en hommes et en moyens de bombardement pour grignoter très lentement mais sûrement du territoire, et pour détruire les infrastructures civiles de l’Ukraine. Maintenant, après les livraisons massives de bombes, missiles et drones par la Corée du Nord et l’Iran, on annonce l’arrivée de plusieurs milliers de militaires nord-coréens pour combattre en renfort de l’armée russe.
Nous reproduisons ici l’intervention de notre camarade lors de la manif en soutien à la Palestine à Millau du 26 octobre.
La loi « plein emploi » votée en décembre 2023 prévoit une série de mesures dont l’objectif affiché par le gouvernement Attal était de lutter contre le chômage. Les deux mesures ayant fait le plus parler d’elles sont l’obligation de suivi des allocataires du RSA par les opérateurs de France Travail (anciennement Pôle Emploi) et le conditionnement de cette allocation à quinze heures d’activités.
Rien n’était joué d’avance. Les indicateurs étaient au rouge. L’information nous était parvenue que les sionistes préparaient une intervention à l’intérieur de la librairie. Mais l’équipe indomptable des libraires a maintenu l’initiative avec le soutien des militantes.