Nouveau record pour Ubisoft
Manque de dialogue social, augmentations trop faibles, remise en cause du télétravail et conditions de travail qui se dégradent : rencontre avec les salariéEs d’Ubisoft en grève ces 15, 16 et 17 octobre dernier.
Manque de dialogue social, augmentations trop faibles, remise en cause du télétravail et conditions de travail qui se dégradent : rencontre avec les salariéEs d’Ubisoft en grève ces 15, 16 et 17 octobre dernier.
Le 23 octobre, les (JA) Jeunesses anticapitalistes ont été à l’initiative d’une réunion publique en présence du sociologue Ugo Palheta, auteur de plusieurs ouvrages sur l’école et le fascisme. Dans le livre paru aux Éditions d’Amsterdam, Extrême droite : la résistible ascension qu’il a récemment coordonné, on retrouve une riche boîte à outils pour analyser l’évolution des stratégies de l’extrême droite en France et en Europe et réfléchir aux moyens pour y faire face.
Reportage au rassemblement devant le palais de justice à Paris le 22 octobre 2024, pour la clôture du procès du Chlordécone. La justice devait se prononcer sur la responsabilité de l'État français pour avoir autorisé l'utilisation du chlordécone en Martinique, qui a empoisonné la terre et les populations. Le non-lieu prononcé en 2023 est vu par les militant•es comme un scandale et iels dénoncent un traitement colonial dans la gestion des territoires d'Outre-Mer. La décision sera rendue le 13 novembre. Les organisations appellent à une manifestation le 3 novembre.
Patrick Silberstein s’entretient avec Catherine Méry autrice du livre « Leur usine, nos vies, nos morts. » Elle y aborde plus de 60 ans de la vie ouvrière au sein de l’usine emblématique de Beauvais : Lookheed qui deviendra DBA, puis Bendix et enfin Bosch avant de fermer définitivement en 2010. Et la vie ouvrière c’est militer au sein de la CFDT combative des années 60 et 70 et au sein du groupe « Taupes rouges » de la Ligue communiste. La vie ouvrière c’est aussi évidemment la lutte et les nombreuses grèves contre un patronat impitoyable.
La Découverte, 2024, 198 pages, 17 euros.
Impossible, à la lecture du sous-titre, de ne pas être saisi par la colère, par une peine profonde, par une forme aiguë d’incrédulité : comment cela est-il possible ? Comment peuvent-ils faire cela, en notre nom ?